5.00 crédits
30.0 h + 6.0 h
Q1
Enseignants
Patriarche Geoffroy; Wiard Victor (supplée Patriarche Geoffroy);
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
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Contenu
Qu’est-ce que l’information ? Qu’est-ce que la communication ? Comment les médias et les réseaux socionumériques influencent-ils notre vision du monde ? Comment un message produit-il de la signification ? Quels sont les ressorts de la propagande et de la désinformation ? Les campagnes de communication politique sont-elles efficaces ? Quelles ressources mobilise-t-on pour interpréter un message ? Pourquoi peut-on dire que la réception des médias et des algorithmes comporte des enjeux politiques et idéologiques ?
Ces questions, et bien d’autres, seront travaillées au travers de différentes approches des sciences de l’information et de la communication qui permettent à la fois d’élaborer ces questions dans un registre de pertinence scientifique et de fournir certains éléments de réponse. La matière s’organise autour des chapitres suivants :
Ces questions, et bien d’autres, seront travaillées au travers de différentes approches des sciences de l’information et de la communication qui permettent à la fois d’élaborer ces questions dans un registre de pertinence scientifique et de fournir certains éléments de réponse. La matière s’organise autour des chapitres suivants :
- Notions de base
- La « formule de Lasswell »... ou comment structurer une UE d’Information et communication
- Le gatekeeping par les médias : fondements et renouvellements
- Le cadrage comme opération de production de sens
- Communication et signification : les approches structurales
- La théorie mathématique de l’information
- L’émergence des études sur le public: foules et masses au début du 20ème siècle
- Propagande et désinformation
- La théorie critique de l’École de Francfort et la domination idéologique
- La recherche fonctionnaliste sur le public : effets « limités » et « complexes »
- Les cultural studies et la réception des médias
Méthodes d'enseignement
L'UE consiste en des cours magistraux accompagnés de travaux pratiques.
Dans le cadre du cours magistral, l’enseignant expose la matière de manière synthétique, en prenant appui sur un support visuel. Chaque séance de cours comprend des moments d’interaction avec l’auditoire, par exemple sous la forme de quizzes en ligne (via Wooclap) avec réponses des étudiant·es en temps réel (via leur smartphone ou autre) et discussion de celles-ci par l’enseignant. Ces moments d’interaction ont un double objectif : approfondir la connaissance de la matière au fur et à mesure de sa présentation et soutenir les participant·es dans leur apprentissage des exigences et des compétences de leur « métier » d’étudiant·e, notamment pour l’examen. Lors de la dernière séance de cours, un moment est consacré à la présentation des consignes pour l’examen et aux dernières questions des étudiant·es.
Les étudiant·es ont à leur disposition un syllabus complet, ce qui permet à l’enseignant de profiter du cours magistral pour approfondir les notions importantes ou difficiles et interagir avec l’auditoire. Le support visuel est également mis à la disposition des étudiant·es.
Les séances de travaux pratiques (TP) prolongent les cours. Elles sont obligatoires et visent deux buts principaux : 1) favoriser une appropriation active de la matière par les étudiant·es, au travers d’exercices de mise en application des notions vues au cours à des objets concrets ou des sujets d’actualité, et 2) aider les étudiant·es à percevoir les exigences attendues dans le cadre du cours, au travers d’exercices de mise en situation d’examen avec debriefings collectifs
Dans le cadre du cours magistral, l’enseignant expose la matière de manière synthétique, en prenant appui sur un support visuel. Chaque séance de cours comprend des moments d’interaction avec l’auditoire, par exemple sous la forme de quizzes en ligne (via Wooclap) avec réponses des étudiant·es en temps réel (via leur smartphone ou autre) et discussion de celles-ci par l’enseignant. Ces moments d’interaction ont un double objectif : approfondir la connaissance de la matière au fur et à mesure de sa présentation et soutenir les participant·es dans leur apprentissage des exigences et des compétences de leur « métier » d’étudiant·e, notamment pour l’examen. Lors de la dernière séance de cours, un moment est consacré à la présentation des consignes pour l’examen et aux dernières questions des étudiant·es.
Les étudiant·es ont à leur disposition un syllabus complet, ce qui permet à l’enseignant de profiter du cours magistral pour approfondir les notions importantes ou difficiles et interagir avec l’auditoire. Le support visuel est également mis à la disposition des étudiant·es.
Les séances de travaux pratiques (TP) prolongent les cours. Elles sont obligatoires et visent deux buts principaux : 1) favoriser une appropriation active de la matière par les étudiant·es, au travers d’exercices de mise en application des notions vues au cours à des objets concrets ou des sujets d’actualité, et 2) aider les étudiant·es à percevoir les exigences attendues dans le cadre du cours, au travers d’exercices de mise en situation d’examen avec debriefings collectifs
Modes d'évaluation
des acquis des étudiants
des acquis des étudiants
Que ce soit en présentiel ou en distanciel, l’évaluation consiste en un examen écrit portant sur la matière abordée lors des cours magistraux et des séances de TP.
L’examen comporte des questions plus « théoriques » et des questions relevant davantage de « l’application ». Il évalue les dimensions suivantes :
- la compréhension des théories et des concepts vus au cours ;
- la capacité à expliquer précisément les théories et les concepts vus au cours ;
- la faculté à mettre en relation différentes parties ou notions du cours ;
- la capacité à appliquer les théories ou les concepts vus au cours à des phénomènes et dispositifs d’information-communication non vus au cours ;
- la capacité à adopter une posture critique à l’égard du sens commun sur les médias et la communication.
En présentiel, l’examen comporte des questions fermées et des questions ouvertes. Il se déroule « à livre fermé ». Si l’examen devait se dérouler en distanciel, il ne comporterait que des questions ouvertes et se réaliserait « à livre ouvert », c’est-à-dire que l’étudiant·e peut consulter son syllabus, ses notes de cours, et les ressources disponibles sur le site de cours ainsi que dans le groupe privé Facebook. La consultation de tout autre matériel est strictement interdite.
Il y a une prise de présence à chaque séance de TP, que ceux-ci se déroulent en présentiel ou en distanciel. L’étudiant·e qui est absent·e de façon non justifiée ou « non légitime » à deux séances de TP obtient un point en moins à la note de l’examen en janvier. L’étudiant·e qui est absent·e de façon non justifiée ou « non légitime » à trois séances de TP obtient deux points en moins à la note de l’examen en janvier. L’étudiant·e qui est absent·e de façon non justifiée ou « non légitime » à plus de trois séances de TP obtient la note de 0/20 à l’examen de janvier.
La présence aux TP n’est pas prise en compte dans le calcul de la note finale pour les sessions de juin et de septembre.
L’examen comporte des questions plus « théoriques » et des questions relevant davantage de « l’application ». Il évalue les dimensions suivantes :
- la compréhension des théories et des concepts vus au cours ;
- la capacité à expliquer précisément les théories et les concepts vus au cours ;
- la faculté à mettre en relation différentes parties ou notions du cours ;
- la capacité à appliquer les théories ou les concepts vus au cours à des phénomènes et dispositifs d’information-communication non vus au cours ;
- la capacité à adopter une posture critique à l’égard du sens commun sur les médias et la communication.
En présentiel, l’examen comporte des questions fermées et des questions ouvertes. Il se déroule « à livre fermé ». Si l’examen devait se dérouler en distanciel, il ne comporterait que des questions ouvertes et se réaliserait « à livre ouvert », c’est-à-dire que l’étudiant·e peut consulter son syllabus, ses notes de cours, et les ressources disponibles sur le site de cours ainsi que dans le groupe privé Facebook. La consultation de tout autre matériel est strictement interdite.
Il y a une prise de présence à chaque séance de TP, que ceux-ci se déroulent en présentiel ou en distanciel. L’étudiant·e qui est absent·e de façon non justifiée ou « non légitime » à deux séances de TP obtient un point en moins à la note de l’examen en janvier. L’étudiant·e qui est absent·e de façon non justifiée ou « non légitime » à trois séances de TP obtient deux points en moins à la note de l’examen en janvier. L’étudiant·e qui est absent·e de façon non justifiée ou « non légitime » à plus de trois séances de TP obtient la note de 0/20 à l’examen de janvier.
La présence aux TP n’est pas prise en compte dans le calcul de la note finale pour les sessions de juin et de septembre.
Ressources
en ligne
en ligne
L'UE dispose d'un site de cours sur Moodle.
Bibliographie
Parmi de nombreux ouvrages d'introduction aux sciences de l’information et de la communication, citons :
BOUGNOUX D. (dir.), Sciences de l’information et de la communication, Paris, Larousse, 1993.
BRETON P. et PROULX S., L'explosion de la communication, Paris, La Découverte, 1996.
CARAH N. et LAOUW E., Media & Society. Production, Content & Participation, Londres, Sage, 2015.
CERVULLE M. et QUEMENER, N., Cultural Studies. Théories et méthodes, 2ème éd., Armand Colin, Paris, 2018.
HEINDERYCKX F., Une introduction aux fondements théoriques de l'étude des médias, 2ème éd., Liège, Céfal, 2002.
LOHISSE J., en collaboration avec PATRIARCHE G. et KLEIN A., La communication. De la transmission à la relation, 4ème éd., Bruxelles, De Boeck, 2009.
MAIGRET E., Sociologie de la communication et des médias, 2ème éd., Paris, Armand Colin, 2007.
MATTELART A. et MATTELART M., Histoire des théories de la communication, Paris, La Découverte, 1995.
MEUNIER J.-P. et PERAYA D. Introduction aux théories de la communication. Analyse sémio-pragmatique de la communication médiatique, Bruxelles, De Boeck, 2004.
BOUGNOUX D. (dir.), Sciences de l’information et de la communication, Paris, Larousse, 1993.
BRETON P. et PROULX S., L'explosion de la communication, Paris, La Découverte, 1996.
CARAH N. et LAOUW E., Media & Society. Production, Content & Participation, Londres, Sage, 2015.
CERVULLE M. et QUEMENER, N., Cultural Studies. Théories et méthodes, 2ème éd., Armand Colin, Paris, 2018.
HEINDERYCKX F., Une introduction aux fondements théoriques de l'étude des médias, 2ème éd., Liège, Céfal, 2002.
LOHISSE J., en collaboration avec PATRIARCHE G. et KLEIN A., La communication. De la transmission à la relation, 4ème éd., Bruxelles, De Boeck, 2009.
MAIGRET E., Sociologie de la communication et des médias, 2ème éd., Paris, Armand Colin, 2007.
MATTELART A. et MATTELART M., Histoire des théories de la communication, Paris, La Découverte, 1995.
MEUNIER J.-P. et PERAYA D. Introduction aux théories de la communication. Analyse sémio-pragmatique de la communication médiatique, Bruxelles, De Boeck, 2004.
Support de cours
- Information et communication - Syllabus
Faculté ou entité
en charge
en charge
ESPB
Programmes / formations proposant cette unité d'enseignement (UE)
Intitulé du programme
Sigle
Crédits
Prérequis
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
Bachelier en langues et lettres françaises et romanes, orientation générale
Bachelier en information et communication
Bachelier en information et communication (français-néerlandais-anglais)
Bachelier en sciences économiques et de gestion
Bachelier : ingénieur de gestion
Bachelier en sociologie et anthropologie
Bachelier en sociologie et anthropologie (français-néerlandais-anglais)
Bachelier en sciences politiques, orientation générale
Bachelier en sciences politiques, orientation générale (français-néerlandais-anglais)
Bachelier en traduction et interprétation [Filière en communication interculturelle]