Nos formations passées
- 7 mai 2018 : Quel changement dans le rapport entre les jeunes et l'Eglise dans une société dite liquide ? workshop destiné aux personnes engagées ou actives dans la pastorale des jeunes - Conférnce du professeur Arnaud Join-Lambert sur L'Église liquide"et l'Abbé Lagadec de Grenoble sur La réflexion d'un diocèse et En pratique à Grenoble;
- 21 novembre 2016 : conférence du Prof. Karlijn Demasure sur La prévention des abus sexuels. Un défi pour les Églises;
- 22 novembre 2016 : rencontre du Prof. Karlijn Demasure avec les formateurs au Grand Séminaire;
- 12 novembre 2016 : Conférence-débat à l’attention de formateurs avec Jean-Philippe Auger sur La formation des prêtres, diacres et animateurs pastoraux à l'heure du coaching;
- 11 mai 2016 : Colloque Jeunes et christianisme : nouveaux rapports et nouveaux accompagnements, avec interventions de sœur Nathalie Becquart sur Jeunes, mondes numériques et évangélisation et de Patrick Laudet sur Jeunes, création culturelle et évangélisation. Conclusion par Olivier Frölich, Vicaire Général du diocèse de Tournai. Coorganisé avec le CRER – Centre de recherches sur les rapports entre Education et Religions – et l’association ASTHER – Association des Anciens de la Faculté de théologie de l’UCLouvain.
Nos journées pastorales passées
Le chemin de la synodalité est justement celui que Dieu attend de l’Église du troisième millénaire. » Ainsi parlait le pape François le 17 octobre 2015. Lorsqu’un pape dit dans un discours officiel que Dieu attend quelque chose, cela vaut la peine d’y faire attention. Or le mot synodalité est nouveau. Parmi les tentatives de définition, ce serait le principe théologique qui fonde la corresponsabilité différenciée en Église, c’est-à-dire que tous sont responsables dans l’Église mais pas de la même manière. Le but de la journée était d’interroger l’ancrage de cette notion dans les textes bibliques, de relire certaines de ses mises en œuvre, en particulier la démarche entamée par la conférence épiscopale allemande, avant de s’arrêter aux fondements théologiques de la synodalité. L’écoute de différents témoignages nous a permis de confronter théorie et pratiques de la synodalité.
Dans la Lettre au peuple de Dieu du 20 août 2018, le pape François caractérise le cléricalisme comme « une manière déviante de concevoir l’autorité dans l’Église ». Lorsque le pape répète à longueur de discours cette dénonciation du cléricalisme, cela vaut la peine d’y faire attention. Or le cléricalisme apparait vite comme un « mot-valise » finalement imprécis. On retiendra surtout que c’est la crédibilité de l’Église tout entière qui est menacée. Le but de la journée sera d’interroger l’égalité « quant à la dignité et à l’activité commune à tous les fidèles dans l’édification du Corps du Christ » (Vatican II, Lumen gentium 32). Un regard historique sur le clergé du 16e au 19e siècle est nécessaire, parce que ce type d’autorité marque encore le temps présent. Nous aurions voulu mettre ensuite à l’écoute du concile Vatican II. Aujourd’hui, notre Église est confrontée à des défis de manière structurelle et au niveau des personnes, ce qui interroge l’exercice de l’autorité et du pouvoir. Nous aurions également souhaité examiner plus particulièrement cette question dans la vie religieuse et dans la vie paroissiale. Différentes interventions :
- Professeure Nicole Lemaître : Regard historique sur le clergé, du Moyen-âge au XIXe siècle
- Professeur Joseph Famerée : Exercer l'autorité en Église aujourd'hui. Insistances et orientations de Vatican II
- Témoignages de Catherine Chevalier, Alfred Malanda et Andrzej Sarota : La "Démarche de progrès" et l'exercice de l'autorité par les prêtres
- Pascal Roger : L'autorité, une "force dynamique" pour une Église missionnaire
Les acteurs de la vie de l’Église en Belgique le disent tous à leur manière : nous sommes appelés à un dépassement, à une inventivité, à une prise de risque. Un passage vers une autre forme de vie chrétienne, plus évangélique, plus missionnaire est pourtant davantage de l’ordre du vœu et de l’espérance plus ou moins utopique et sans doute encore guère de l’ordre de l’action et de la réorganisation pastorale. Alors comment penser ce christianisme de 2030 ? Quelle parole de salut pour le monde qui vient ? Pour être au service de quelle vision du monde, de quelle humanisation ? Avec quelles structures ecclésiales et quels ministères ? Organisés pour accompagner des chrétiens « de souche », des paroisses « traditionnelles », des institutions « séculaires », comment nos diocèses peuvent-ils réorienter leurs priorités ?
Ces modifications posent de manière décisive désormais et urgente le besoin de repositionner la théologie de la mission : locale mais en même temps métissée et universelle, confiante et joyeuse, inculturée et prophétique, exigeante et humanisante.
Comment dynamiser les liturgies paroissiales ? Comment y faire place aux générations plus jeunes ? Faut-il privilégier à tout prix le rythme hebdomadaire ? En fin de compte, qu’est-ce qui donne goût aux liturgies ? Le concile Vatican II propose comme piste principale la rencontre du Christ :
Pour l’accomplissement d’une si grande œuvre, le Christ est toujours là auprès de son Église, surtout dans les actions liturgiques. Il est là présent dans le sacrifice de la messe, et dans la personne du ministre […] et, au plus haut degré, sous les espèces eucharistiques. Il est présent, par sa puissance, dans les sacrements au point que lorsque quelqu’un baptise, c’est le Christ lui-même qui baptise. Il est là présent dans sa parole, car c’est lui qui parle tandis qu’on lit dans l’Église les Saintes Écritures. Enfin il est là présent lorsque l’Église prie et chante les psaumes, lui qui a promis : « Là où deux ou trois sont rassemblés en mon nom, je suis là, au milieu d’eux » (Mt 18, 20). Constitution Sacrosanctum Concilium n° 7
Comment, à travers les rites liturgiques, manifester cette présence du Christ au cœur de son peuple ? Comment le ministre qui préside peut-il y contribuer ? Qu’est-ce qui permet de « faire parler » la Parole de Dieu, pour qu’elle rejoigne chacun ? Quelle est la responsabilité de l’assemblée, appelée à « une participation pleine, consciente et active aux célébrations liturgiques » (SC 14) ?
Autant de questions qu’on peut croiser avec des défis plus contemporains : comment faire place aux différentes générations et aux différentes cultures dans nos assemblées ? comment constituer des assemblées dans les paroisses aux multiples clochers ? quelle est la juste place de l’émotion en liturgie ? comment transmettre le sens chrétien du dimanche ? comment intégrer en pastorale liturgique les nouvelle temporalités de nos contemporains ? etc.
Pour répondre à ce large questionnement, la journée a alterné des apports théologiques de théologiens de la liturgie et des récits de pratiques par des acteurs de terrain, qui ont fait l’objet d’une relecture plus systématique. L’objectif était d’offrir aux participants des critères de discernement… et de les stimuler à investir en liturgie, « cette grande œuvre par laquelle Dieu est parfaitement glorifié et les hommes sanctifiés » (SC 7).
N. B. : Le frère Patrick Prétot a enrichi ses propos en y introduisant des éléments qu’il a apportés dans le débat final. Le professeur Join-Lambert n'a pas fournit de texte en lui-même, mais deux articles qu’il a rédigés sur le sujet : un court (dans Feu nouveau) et un long (dans le livre d’hommage à André Fossion).
Conférences qui ont été organisées par la Fondation Sedes Sapientiæ sur un thème bien d’actualité : Où vont les catholiques ?
- 26 février : professeur Guillaume Cuchet (Université Paris-Est Créteil) et le professeur Henri Derroitte (UCLouvain) autour du thème : L’Église a-t-elle raté la transmission de sa foi ?
Baisse de la pratique, églises qui se vident : ne serait-ce pas la faute des chrétiens eux-mêmes ? En effet, on a souvent accusé le catéchisme de ne pas être attractif, d’infantiliser les jeunes, de leur présenter un christianisme trop léger qui ne les attire pas : qu’en est-il exactement ?
- Le 12 mars : Mgr Philippe Bordeyne et Mgr Jean-Pierre Delville pour un dialogue sur le thème: L’Église est-elle hors du monde ?
La seconde conférence a abordé la place des chrétiens dans la cité. Si le pape François est très présent sur la scène médiatique, force est de constater que les chrétiens sont de moins en moins visibles en politique. Les partis «démocrates-chrétiens » ont peu à peu abandonné la référence au christianisme, les croyances semblent réservées à la sphère privée. Les chrétiens ont-ils renoncé à exercer une action concrète dans le monde, pour vivre hors du monde ?
Dans un monde en mutation, où la relation entre religions – et en particulier le christianisme – et société prend des configurations tout à fait nouvelles, quelle est la pertinence sociale de la foi chrétienne ? En quoi peut-elle dynamiser la culture contemporaine ? En d’autres mots, comment l’Eglise peut-elle «être signe et faire signe» ?
Pour honorer ce questionnement, la journée a commencé par revisiter la dimension prophétique de la foi chrétienne et de l’Eglise :
Un apport biblique s’est intéressé à la figure du Jésus contestataire : qu’est-ce qu’il assume, qu’est-ce qu’il conteste, qu’est-ce qu’il déplace ? En quoi fait-il signe ? Il s’agissait de lire ce que les textes du Nouveau Testament nous disent.
Un apport ecclésiologique a relu le Concile Vatican II qui dit des fidèles qu’ils sont « participants… de la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ » (LG 31). On s'est demandé ce que cela change pour le témoignage que l’Eglise rend d’elle-même et comment cela se rend-il visible.
La suite de la journée a fait intervenir différents témoins, laïc, prêtres et religieux, engagés auprès des réfugiés, dans les renouvellements paroissiaux, dans l’annonce de la foi aux jeunes, en milieu populaire : autant de lieux où nous nous demanderons comment l’Eglise fait signe ? Dans l’espoir que cette journée nous fournisse des occasions de dire, à la suite du prophète
Isaïe : Voici que je fais une chose nouvelle : elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ? (Is 43,19).
A côté des thématiques liées à la préparation du mariage, aux divorcés remariés et aux questions de morale sexuelle, le Synode romain (2014-15) s’est également arrêté à une nouvelle approche de la pastorale familiale soucieuse de rejoindre les familles dans leur quotidien. C’est sous cet angle, et à partir de la conviction qu’Eglise et familles, familles et société ont mutuellement des choses à s’apporter, que la problématique familiale sera abordée. L’objectif était d’élargir l’approche de la cellule familiale en la regardant à partir des liens qu’elle crée, et de fonder cette approche dans une réflexion théologique.
La question a été abordée sous différents angles. Elle a été introduite par le regard d’un curé de paroisse (Benoît Lobet) sur l’interaction entre paroisses et familles. Deux spécialistes de la morale sociale (Emil Piront et Catherine Fino) ont proposé des approches complémentaires : le premier s'est arrêté à l’apport du lien conjugal à la construction de la personne, du croyant, du citoyen; la seconde a proposé des repères éthiques pour penser une pédagogie de la miséricorde.
Un spécialiste de la théologie familiale (Thomas Knieps) a proposé une réflexion ecclésiologique sur base de l’expérience des familles. La journée s'est enrichie de l’apport de Mgr Bonny qui a rendu compte des apports du dernier synode sous l’angle des rapports familles – société.
« Nous avons redécouvert que, dans la catéchèse aussi, la première annonce ou “kérygme” a un rôle fondamental, qui doit être au centre de l’activité évangélisatrice et de tout objectif de renouveau ecclésial. Le kérygme est trinitaire. C’est le feu de l’Esprit qui se donne sous forme de langues et nous fait croire en Jésus Christ, qui par sa mort et sa résurrection nous révèle et nous communique l’infinie miséricorde du Père. Sur la bouche du catéchiste revient toujours la première annonce : “Jésus Christ t’aime, il a donné sa vie pour te sauver, et maintenant il est vivant à tes côtés chaque jour pour t’éclairer, pour te fortifier, pour te libérer” » (EG n° 164).
En s’appuyant sur cet extrait d’Evangelii gaudium, la journée de formation a poursuivit un double objectif:
- Comprendre comment cette approche pastorale permettait de rejoindre les personnes telles qu’elles sont, en particulier les personnes issues du monde populaire;
- Mesurer comment une telle orientation était porteuse d’un renouveau ecclésial, par sa volonté d’entrer en dialogue avec les destinataires de la Bonne Nouvelle.
L’ambition de la journée était de laisser résonner l’appel à « rejoindre les périphéries ». Ce défi a été posé tant aux acteurs engagés en pastorale territoriale qu’à ceux qui étaient en contact avec des personnes de tous horizons dans les hôpitaux, les prisons, les lieux de pèlerinages…
Différents apports ont contribué à la réalisation de ces objectifs. L’intervenant principal de la journée a apporté la relecture qu’il fait des enjeux et des fruits de la mise en œuvre d’une telle pastorale au niveau d’un diocèse. Son expérience lui a permis de décliner les défis à relever par les agents pastoraux pour s’inscrire dans une telle dynamique.
Une approche biblique a été remontée aux sources de la première annonce en s’interrogeant sur les contenus, les points d’attention, les destinataires des discours kérygmatiques des Actes des Apôtres, afin de mettre en évidence les implications qui s’en dégageaient pour une pastorale kérygmatique qui rejoignait les personnes aujourd’hui.
Ces apports réflexifs ont été complétés par l’apport de praticiens engagés dans la mise en œuvre de cette approche dans le chantier paroissial en monde populaire et dans la pastorale des pèlerinages.
Le passage d’une société de chrétienté à une société sécularisée devait, selon un des orateurs principaux de cette journée d’étude, le Professeur Enzo Biemmi, conduire la vie pastorale à agir sur 3 niveaux, en diminuant la pression sur la catéchèse et la restituant ainsi à sa tâche limitée et en même temps indispensable. Selon lui, trois conversions étaient attendus :
- D’une paroisse de l’entretien religieux à des communautés missionnaires. Les mots étaient ici décisifs: d’une paroisse (ce qui dit structure, organisation, services…) à des communautés (ce qui dit personnes, groupes, relations, espaces communicationnels) missionnaires (à ce qui dit des communautés qui recommencent à proposer la foi par le témoignage, la parole et l’immersion dans un tissu de vie communautaire).
- D’une initiation aux sacrements adressée aux petits enfants à une « initiation à la vie chrétienne par les sacrements » désormais centrée sur les adultes, même dans le cas où il s’agit des enfants. C’est le passage à une initiation chrétienne de type catéchuménal, une catéchèse de cheminement, intense et graduelle à la fois, qui permette de s’approprier en Église une expérience en référence à des signes, des gestes, des rites, des symboles, notamment bibliques et liturgiques.
- D’une catéchèse d’enseignement ou d’approfondissement à la première ou deuxième annonce, c’est-à-dire à une parole qui accompagne l’initium fidei, le commencement où le recommencement de la foi
La journée d’étude a examiné ce cadre et ces conversions non pas seulement comme des défis théoriques. Elle a cherché également à décrire et à analyser diverses tentatives de renouveau catéchétique déjà en œuvre. Quelle est leur intuition, leur plausibilité théologique, leurs premiers résultats : catéchèse communautaire, catéchèse intergénérationnelle, catéchèse missionnaire …
Ces travaux ont mis en perspective et en liaison avec les efforts déployés en Italie, en France et, bien entendu, en Belgique, notamment en lien avec les documents récents des Évêques de Belgique.
Les demandes de sacrements, les pèlerinages et les grands rassemblements, les rencontres suscitées de la vie quotidienne mettent en présence de quêtes spirituelles qu’il n’est pas toujours facile d’appréhender : la « modernité métissée » produit des de nouvelles croyances et déplace les repères dans notre société occidentale. L’objectif de cette journée est de proposer des éléments d’analyse de ce nouveau panorama spirituel et de proposer des pistes pour une réponse pastorale ajustée.
La journée a procédé en quatre étapes. Le père Denis Lecompte a commencé par dresser le tableau de ces nouvelles croyances ; cet apport a été complété par deux témoins qui ont fait état de la diversité des demandes à laquelle ils étaient confrontés et de l’accueil qu’ils y ont donné. Dans un troisième temps, l’abbé Benoît Lobet a rendu compte, comme théologien et comme pasteur, du potentiel de la tradition pour faire face à cette recherche spirituelle contemporaine. Dans une dernière étape, le père Lecompte a proposé des critères de discernement pour le travail pastoral.
La conception que l’Église se fait mariage est aujourd’hui mise à mal dans les faits (divorce, union libre, remariage…) et dans la législation (mariage pour les personnes du même sexe). Et pourtant le mariage religieux continue à exercer un réel attrait. Ce décalage pose problème aux pasteurs : comment préparer au mariage dans ce contexte ? Comment accompagner les couples dans cet engagement ?
La journée a procédé en trois étapes. Le professeur Philippe Bordeyne a proposé tout d’abord une réflexion de fond sur le mariage catholique : comment en manifester la pertinence, la richesse et la fécondité ? Dans un deuxième temps, un éclairage a été apporté dans les aspects canoniques, liturgiques et pastoraux. Le troisième temps a donné la parole à des témoins engagés dans la préparation au mariage et l’accompagnement après le mariage. En finale, Philippe Bordeyne réagi à ces différents apports et Mgr Warin a conclu la journée.
Nos interventions passées
- Arnaud Join-Lambert, "Appelés : une expérience de foi unique... et commun". Session du diocèse de Pontoise (F) -
- Arnaud Join-Lambert, "Appelants : trouver son propre modèle missionnaire". Session du diocèse de Pontoise (F)
⇒ Henri Derroitte, "Les bonnes nouvelles de la catéchèse", conférence lors du rassemblement "Rivespérances", à Na
⇒ Catherine Chevalier, formation liturgique, à l'église Saint-Denis - Chaussée de Bruxelles, 26 à Forest
⇒ Arnaud Join-Lambert, "Plusieurs modèles missionnaires aujourd'hui : concurrence ou complémentarité ?" Conférence lors du rassemblement Riverspérances - Namur
⇒ Arnaud Join-Lambert, "L'acte de transmettre : sa spécificité dans l'acte de célébration liturgique". Ou : "Célébrer/transmettre : un recto verson trop méconnu". In : "La liturgie comme lieu ou non de transmission de la foi". Colloque CEP, Louvain-la-Neuve.
⇒ Henri Derroitte, "Quels liens entre la liturgie et la nouvelle évangélisation ?", conférence à Louvain-la-Neuve au colloque du CEP
⇒ Henri Derroitte, "La catéchèse et ses dimensions communautaires", à Strasbourg
⇒ Henri Derroitte, "Au coeur de la communauté : mission des catéchistes", à Strasbourg
⇒ Catherine Chevalier, "service et vie spirituelle", à Wavre (formation permanente des diacres permanents)
⇒ Henri Derroitte, "La catéchèse aujourd'hui, évolution et repères", à Strasbourg
⇒ Henri Derroitte, "Nouvelle évangélisation et catéchèse", à Strasbourg
⇒ Arnaud Join-Lambert, Ecouter et discerner "ce que l'Esprit dit au Evangiles" grâce à la synodalité et la collégialité : comme au temps des apôtres (Actes 15) ? Journée diocésaine de formation, Lille
⇒ Arnaud Join-Lambert, "Inventons les paroisses de demain" : A quoi bon encore ? Regards sur les enjeux d'un passage vers l'inconnu. Journée diocésaine de formation. Lille.
Henri Derroitte, "La transmission de la foi aujourd'hui", Paroisse de Cour-sur-Heure
⇒ Catherine Chevalier, "Former des chrétiens aujourd'hui pour l'annonce de l'Evangile" chez les Bénédictins d'Ermeton-sur-Biert
⇒ Arnaud Join-Lambert, "L'unique circoncision de la liturgie catholique, celle de Jésus, in" : la circoncision. Journée d'étude, Louvain-la-Neuve
⇒ Serge Maucq, «Pourquoi l'Eglise n'est-elle pas simplement une démocratie ? » dans le cadre du cycle " Vatican II, dépassé ?" organisé à Wavre et Ottignies (Petit-Ry)
⇒ Henri Derroitte, "Comment planifier les apprentissages au cours de religion au long des 6 années de l'enseignement secondaire ?", Collège St-Stanislas, Mons
⇒ Catherine Chevalier, "Discerner la volonté de Dieu : les règles du discernement, CEP-Année fondamentale"
⇒ Catherine Chevalier, "Former des chrétiens aujourd'hui pour l'annonce de l'Evangile" au Centre pastoral du Brabant wallon (Wavre)
Serge Maucq, «Pourquoi l'Eglise n'est-elle pas simplement une démocratie ? » dans le cadre du cycle «Ouvrir les fenêtres» avec le Concile Vatican II organisé dans les doyennés de Braine et Waterloo
⇒ Vincent Faber, demi-journée consacrée à "l'introduction à la démarche théologique" IDF Namur
⇒ Vincent Faber, journée consacrée à : "l'introduction à la foi chrétienne", IDF Namur
⇒ Vincent Faber, animation d'un atelier sur Gaudium et Spes dans le cadre de la journée diocésaine consacrée à Vatican II