Enseignants
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Thèmes abordés
- Etude morphologique des éléments matériels qui constituent les agglomérations bâties aux différentes échelles : typologie des édifices et des tissus urbanisés, réseaux, espaces publics, sites naturels
- Etude des modes d'évolution et de mutation des constituants d'agglomération bâties
- Introduction à des repères théoriques
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
1 |
AA spécifiques : A la fin de l activité, l'étudiant·e sera capable
Se constituer une culture architecturale
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Contenu
L'unité d'enseignement « Architecture, ville et territoire : morphologies » constitue la seconde UE de ce domaine de connaissances. Faisant suite à la formation en sciences du milieu, elle aborde la relation des établissements humains avec leur environnement.
L'apprentissage de la lecture et de la compréhension des morphologies s'effectuera à partir d'exposés ex cathedra, qui aborderont trois perspectives différentes sur la ville, le paysage et le territoire : (a) le relevé des éléments urbains bâti et non bâti, (b) l’analyse de la dimension historique, et (c) la confrontation avec la dimension environnementale et paysagère. À travers des cours combinant des références théoriques avec des exemples concrets, les étudiant.e.s seront guidé.e.s dans la réalisation d'une série d'opérations d'analyse d'un site, convenu ou assigné par l'enseignant.e.
Dans le premièr cycle, ils sont invité.e.s à se rendre sur le terrain et à relever minutieusement ‘l'espace entre les choses’ : avec une consigne donnée et précise des éléments à relever, les étudiant.e.s doivent produire des dessins annotés qui détaillent les entrées, les espaces ouverts privés, la végétation, les revêtements de sol, les destinations d'usage, la hauteur des bâtiments, etc.
Dans le deuxième cycle, les étudiant.e.s sont invité.e.s à se confronter à l’histoire et à comprendre la stratification du territoire. La figure clé de ce cycle est celle du palimpseste, une métaphore introduite par André Corboz en 1983, pour décrire un territoire comme une succession d’écritures – transformations – mais aussi d’effacements – démolitions. À travers l’observation de cartes historiques, de photos aériennes et de documents d’archives, les étudiant.e.s sont invité.e.s à construire une carte synthétique qui révèle non seulement les différentes époques de construction ou d’apparition (bâtiments, infrastructures, et même végétation), mais aussi à relever les éléments qui ont progressivement disparu du paysage. Cette confrontation avec l’histoire et la lente construction de la ville et du paysage est un point fondamental pour positionner un éventuel projet dans un processus, et non comme un élément isolé.
Le troisième cycle aborde la nature du territoire, à la fois géomorphologique et liée aux risques, en invitant à observer la géographie naturelle des lieux (topographie, hydrographie, géologie, pédologie...), ses infrastructures (mobilité, énergies, hydraulique, écologie...), et à confronter ces éléments avec l’urbanisation de facto.
L'apprentissage de la lecture et de la compréhension des morphologies s'effectuera à partir d'exposés ex cathedra, qui aborderont trois perspectives différentes sur la ville, le paysage et le territoire : (a) le relevé des éléments urbains bâti et non bâti, (b) l’analyse de la dimension historique, et (c) la confrontation avec la dimension environnementale et paysagère. À travers des cours combinant des références théoriques avec des exemples concrets, les étudiant.e.s seront guidé.e.s dans la réalisation d'une série d'opérations d'analyse d'un site, convenu ou assigné par l'enseignant.e.
Dans le premièr cycle, ils sont invité.e.s à se rendre sur le terrain et à relever minutieusement ‘l'espace entre les choses’ : avec une consigne donnée et précise des éléments à relever, les étudiant.e.s doivent produire des dessins annotés qui détaillent les entrées, les espaces ouverts privés, la végétation, les revêtements de sol, les destinations d'usage, la hauteur des bâtiments, etc.
Dans le deuxième cycle, les étudiant.e.s sont invité.e.s à se confronter à l’histoire et à comprendre la stratification du territoire. La figure clé de ce cycle est celle du palimpseste, une métaphore introduite par André Corboz en 1983, pour décrire un territoire comme une succession d’écritures – transformations – mais aussi d’effacements – démolitions. À travers l’observation de cartes historiques, de photos aériennes et de documents d’archives, les étudiant.e.s sont invité.e.s à construire une carte synthétique qui révèle non seulement les différentes époques de construction ou d’apparition (bâtiments, infrastructures, et même végétation), mais aussi à relever les éléments qui ont progressivement disparu du paysage. Cette confrontation avec l’histoire et la lente construction de la ville et du paysage est un point fondamental pour positionner un éventuel projet dans un processus, et non comme un élément isolé.
Le troisième cycle aborde la nature du territoire, à la fois géomorphologique et liée aux risques, en invitant à observer la géographie naturelle des lieux (topographie, hydrographie, géologie, pédologie...), ses infrastructures (mobilité, énergies, hydraulique, écologie...), et à confronter ces éléments avec l’urbanisation de facto.
Méthodes d'enseignement
Chaque séance est composée d’un exposé théorique, de séances de travail et/ou d'affichages collectifs. Les étudiant.e.s seront guidé.e.s pour réaliser un travail individuel au sein d’un groupe de travail de référence. Chaque cycle est clôturé par un affichage individuel et une discussion collective au sein des groupes de travail. Les affichages amènent les étudiant.e.s à la réalisation d'un carnet d'analyse qui synthétise l'ensemble des méthodes, théories et réflexions, et qui est remis lors de la session d'examen. Des précisions sont transmises durant le cours et communiquées également via moodle.
Modes d'évaluation
des acquis des étudiants
des acquis des étudiants
L'évaluation des acquis d'apprentissage se fait sous la forme d'une remise finale en session d’examen, pondérée par une évaluation continue. L'évaluation des travaux successifs donne lieu à une cote unique. L'évaluation porte sur:
- La production et les apports de l'étudiant.e aux affichages (5/20) ;
- L'évaluation finale : 15/20.
Bibliographie
Déposée sur Moodle
Support de cours
- literature
- donnés cartographiques
Faculté ou entité
en charge
en charge
Programmes / formations proposant cette unité d'enseignement (UE)
Intitulé du programme
Sigle
Crédits
Prérequis
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
Bachelier en architecture/BXL