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90.0 h
Q1
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Thèmes abordés
Première rencontre du projet d’architecture à partir de deux entrées opposées :
D’une part, on considère une réalité existante de grande taille : un site. Cette portion existante d’un territoire est interrogée dans ses raisons (pourquoi est-elle ainsi ? quelles ont été les déterminants naturels et humains qui ont mené à son état actuel ?), dans ses constituants (matières urbaines, péri-urbaines, rurales, parcellaire, minéral, végétal…) et leurs rapports (sont-ils structurants d’un ensemble ou isolés ?), dans ses fonctionnements (qu’est-ce qu’il s’y passe) et dans ses potentiels (où et comment pourrait-elle accueillir de nouveaux éléments ?). Un morceau de territoire belge sert de point de départ à ces interrogations.
D’autre part, on expérimente une face de ce que l’architecture définit en propre : de la spatialité. Des lieux sont projetés et questionnés dans leurs limites (ouvertes, fermés, nettes, distendues…), dans leurs qualités intrinsèques (proportions, lumière…), dans leurs qualifications respectives (articulations aux voisins ; propriétés communes avec des lieux plus éloignés) et dans ce qu’ils produisent ensemble en termes de composition, de parcours…
La composition spatiale visée dans cette partie suppose une abstraction du site.
A partir des deux entrées, le dessin est expérimenté comme outil d’analyse et de questionnement. La maquette peut augmenter ces expériences.
A travers ce double atelier, la capacité de ces deux entrées à être chacune un moteur du projet d’architecture est identifiée.
D’une part, on considère une réalité existante de grande taille : un site. Cette portion existante d’un territoire est interrogée dans ses raisons (pourquoi est-elle ainsi ? quelles ont été les déterminants naturels et humains qui ont mené à son état actuel ?), dans ses constituants (matières urbaines, péri-urbaines, rurales, parcellaire, minéral, végétal…) et leurs rapports (sont-ils structurants d’un ensemble ou isolés ?), dans ses fonctionnements (qu’est-ce qu’il s’y passe) et dans ses potentiels (où et comment pourrait-elle accueillir de nouveaux éléments ?). Un morceau de territoire belge sert de point de départ à ces interrogations.
D’autre part, on expérimente une face de ce que l’architecture définit en propre : de la spatialité. Des lieux sont projetés et questionnés dans leurs limites (ouvertes, fermés, nettes, distendues…), dans leurs qualités intrinsèques (proportions, lumière…), dans leurs qualifications respectives (articulations aux voisins ; propriétés communes avec des lieux plus éloignés) et dans ce qu’ils produisent ensemble en termes de composition, de parcours…
La composition spatiale visée dans cette partie suppose une abstraction du site.
A partir des deux entrées, le dessin est expérimenté comme outil d’analyse et de questionnement. La maquette peut augmenter ces expériences.
A travers ce double atelier, la capacité de ces deux entrées à être chacune un moteur du projet d’architecture est identifiée.
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
A l'issue de cet enseignement, les étudiant·es seront en mesure de
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Faculté ou entité
en charge
en charge
Programmes / formations proposant cette unité d'enseignement (UE)
Intitulé du programme
Sigle
Crédits
Prérequis
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
Bachelier en sciences de l'ingénieur, orientation ingénieur civil architecte