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6.00 crédits
90.0 h
Q1
Langue
d'enseignement
d'enseignement
Français
Thèmes abordés
Troisième rencontre du projet d’architecture à travers deux nouvelles entrées :
D’une part, on considère une réalité existante de taille modérée : une construction. Cet existant est interrogé dans ses raisons (Pourquoi est-il ainsi ? Quelles ont été les déterminants physiques et humains qui ont mené à son état actuel ?), dans ses matériaux (pierre, brique, béton, acier, verre…), dans ses éléments (murs, colonnes, toitures, planchers…) et leurs associations (détails, articulation…), dans ses fonctionnements (structurels, thermiques…) et dans ses potentiels (comment cette construction pourrait-elle évoluer ?). Le travail de transformation ou d’extension d’un bâti existant (une construction) permet d’aborder cette face de l’architecture qu’est la modification de l’emplacement des matières (la construction).
D’autre part, on conçoit à partir de ce que l’architecture et la construction accueillent : un programme. Les activités humaines sont questionnées pour ce qu’elles peuvent donner forme à des espaces et composer une organisation globale. L’ergonomie et les besoins de certaines fonctions, les relations entre les activités, la hiérarchie des espaces à rencontrer, l’opposition entre des espaces servis et des espaces servants, le sens général de l’institution, sont autant de modes d’interprétation possibles du programme qui peuvent être suivies ou questionnées (réfutées). Une institution relativement complexe sert de prétexte à cette partie de l’atelier.
Depuis ces deux entrées, le dessin est expérimenté comme outil d’analyse et de questionnement (spéculation/composition). La maquette peut augmenter ces expériences.
A travers ce double atelier, la capacité de ces deux entrées à être chacune un moteur de projet d’architecture est identifiée.
D’une part, on considère une réalité existante de taille modérée : une construction. Cet existant est interrogé dans ses raisons (Pourquoi est-il ainsi ? Quelles ont été les déterminants physiques et humains qui ont mené à son état actuel ?), dans ses matériaux (pierre, brique, béton, acier, verre…), dans ses éléments (murs, colonnes, toitures, planchers…) et leurs associations (détails, articulation…), dans ses fonctionnements (structurels, thermiques…) et dans ses potentiels (comment cette construction pourrait-elle évoluer ?). Le travail de transformation ou d’extension d’un bâti existant (une construction) permet d’aborder cette face de l’architecture qu’est la modification de l’emplacement des matières (la construction).
D’autre part, on conçoit à partir de ce que l’architecture et la construction accueillent : un programme. Les activités humaines sont questionnées pour ce qu’elles peuvent donner forme à des espaces et composer une organisation globale. L’ergonomie et les besoins de certaines fonctions, les relations entre les activités, la hiérarchie des espaces à rencontrer, l’opposition entre des espaces servis et des espaces servants, le sens général de l’institution, sont autant de modes d’interprétation possibles du programme qui peuvent être suivies ou questionnées (réfutées). Une institution relativement complexe sert de prétexte à cette partie de l’atelier.
Depuis ces deux entrées, le dessin est expérimenté comme outil d’analyse et de questionnement (spéculation/composition). La maquette peut augmenter ces expériences.
A travers ce double atelier, la capacité de ces deux entrées à être chacune un moteur de projet d’architecture est identifiée.
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
A la fin de cette unité d’enseignement, l’étudiant est capable de : | |
A l'issue de cet enseignement, les étudiant·es seront en mesure de
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Faculté ou entité
en charge
en charge
Programmes / formations proposant cette unité d'enseignement (UE)
Intitulé du programme
Sigle
Crédits
Prérequis
Acquis
d'apprentissage
d'apprentissage
Bachelier en sciences de l'ingénieur, orientation ingénieur civil architecte