La Fondation Sedes Sapientiae

Promouvoir la recherche et la formation

Plus que jamais, l’Église universelle a besoin d'hommes et de femmes, laïcs et clercs, ayant une formation théologique approfondie. Au fil des années, la Faculté de théologie et d'étude des religions de Louvain-la-Neuve a formé de nombreux étudiant·es provenant du monde entier et appelé·es ensuite à des tâches importantes dans leur Église, tant au plan intellectuel (professeurs d'université ou de grand séminaire) que pastoral (évêques, vicaires généraux, etc). Aujourd’hui, ses étudiant·es proviennent de plus de 20 pays. De nombreuses Églises locales manquent toutefois de moyens pour envoyer leurs étudiants à Louvain-la-Neuve. De même, de jeunes laïcs rencontrent des difficultés pour financer leur formation avancée. La Fondation Sedes Sapientiæ s’est donc donné comme objectif prioritaire le financement de bourses destinées à des doctorant·es en théologie. Ces bourses sont octroyées sur la base de critères scientifiques. Rares sont les facultés de théologie catholique qui, comme celle de Louvain-la-Neuve, ont l'avantage d'être insérées dans une université complète.

La Faculté de théologie et d'étude des religions de l'UCLouvain vit ainsi au contact de la science et du monde contemporain représentés par des philosophes, des médecins, des psychologues, des juristes, des biologistes, des sociologues, des archéologues ... Milieu exigeant et rigoureux, mais combien enrichissant. Insérée au coeur de la recherche et de l'enseignement assurés par les différentes facultés, au centre des multiples cultures dont proviennent ses étudiants, la Faculté de théologie et d'étude des religions a des atouts exceptionnels. Aussi est-elle intensément sollicitée. La Fondation Sedes Sapientiæ entend faciliter les réponses de la Faculté à ces sollicitations en soutenant sa recherche.

Pour atteindre ses objectifs, la Fondation Sedes Sapientiæ compte sur les ami·es et les ancien·nes de la Faculté de théologie et d'étude des religions et sur toute personne ou association intéressée.

Elle se tient à votre disposition pour envisager toute forme de collaboration.

Vous pouvez contacter son secrétariat au numéro de téléphone 00 32 (10) 47 36 04.

Si vous souhaitez faire un don à la Fondation Sedes Sapientiæ, vous pouvez le faire par un versement au compte (IBAN) BE26271036636629 - (BIC) GEBABEBB Il s'agit d'un compte de l'Université catholique de Louvain, auquel il convient d'ajouter la mention "51.10 000.001 DON FSS". Les versements d'un montant de 40 € au moins feront l'objet d'une attestation en vue d'obtenir l'exonération fiscale.

Fondation Sedes Sapientiae - Grand-Place, 45 - B-1348 Louvain-la-Neuve

00 32 (010) 47 36 04
00 32 (010) 47 87 40

Les Bourses doctorales et post-doctorales de la Fondation Sedes Sapientiae

Chaque année, la Fondation Sedes Sapientiæ met au concours des bourses de doctorat pour de jeunes chercheurs/chercheuses originaires aussi bien de la Communauté européenne que d’autres pays hors Union européenne.

La Fondation Sedes Sapientiæ offre la possibilité à de jeunes chercheurs/chercheuses de poursuivre une recherche au sein de la Faculté de théologie et d'étude des religions et de l’Institut de recherche Religions, Spiritualités, Cultures, Sociétés (RSCS).

Les offres de bourses sont communiquées sur nos réseaux et sur notre site web dans le courant du mois de mai.

Le Bulletin de la Fondation Sedes Sapientiae

Jusqu'en décembre 2015, le Bulletin de la Fondation Sedes Sapientiae est édité deux fois par an, en juin et en décembre.

Depuis 2016, il est publié annuellement :

Les conférences de la Fondation Sedes Sapientiae

2023 - Parcours avec le Christ des rameaux du Musée L à Louvain-la-Neuve avec Matthieu Somon

27 avril 2023 à 20h au musée L >> toutes les informations <<

2022 - Dieu : une biographie

21 février 2022 : Les visages de Dieu de l’Ancien au Nouveau Testament avec Matthieu Richelle et Geert van Oyen
14 mars 2022 : De la Bible au Coran: un nouveau visage avec Régis Burnet et Mehdi Azaiez.

Dans son François d’Assise, le poète Joseph Delteil oppose ainsi la figure du Dieu dans l’Ancien Testament et dans le Nouveau Testament : « La Bible, c’est de l’hébreu… l’aïeule, le livre du vieux Jéhovah, écrit avec sa plume de fer… cet horrible fatras de batailles, de carnages et de fornications… […] Mais l’Évangile, ah ! l’Évangile !… C’est le livre du jeune Dieu, du Dieu humain si j’ose dire… le livre des enfants et des innocents, écrit à la plume d’oie, voire d’alouette… » Et que n’aurait-il pas écrit du Coran ! Delteil exprime, avec beauté, une conviction que l’on entend souvent. A-t-elle une quelconque réalité ? Est-ce qu’il y a du sens à opposer le « Jéhovah » de l’Ancien Testament, le « Père » du Nouveau Testament, et l’ « Allah » du Coran ?