GREBH - Publications et diffusion

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Borobudur, bas-relief, Java

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Le bouddhisme est l’objet de toutes sortes de malentendus : il ne serait pas une religion mais une philosophie ; la méditation se réduirait à la pleine conscience ; la compassion ne serait qu’ une velléité du coeur - et lorsque nous évoquons l'ego, nous le confondons avec celui des psychologues.

S'employant à défaire ces croyances, ce livre fait aussi la lumière sur des notions délicates comme celle du karma, interprété à tort comme une prédestination, ou celle de réincarnation, terme en fait inapproprié. Il s’interroge sur l’importance de la relation maître-disciple, sur l’éthique de la non-violence et le végétarisme. Et il s'arrête sur cette question essentielle : le bouddhisme est-il réductible à un outil de développement personnel ? Quel bonheur vise-t-il au juste ? Car tel est l'enjeu : le bouddhisme ne court-il pas le risque d’être victime d’une instrumentalisation ? Sait-on encore en Occident ce qu’implique l’engagement dans une quête spirituelle ? En d’autres termes : comment transmettre au monde contemporain la sagesse libératrice du Bouddha sans la diluer, la déformer ou la figer ?

À travers une série de questions remettant en cause lieux communs et a priori, cet ouvrage passionnant propose une lecture éclairée et éclairante du bouddhisme afin d’en restaurer la force et d’en affiner la connaissance.

La question de l'existence d'une continuité de la conscience après la mort est au coeur de la philosophie depuis l'Antiquité indienne. Hormis le Livre des Morts égyptien, le Bardo thödröl chenmo encore appelé le Livre des Morts tibétain, composé par Padmasambhava au 8e siècle de notre ère, est le seul autre ouvrage au monde qui traite dans le détail des étapes de la mort et présente les conseils à donner aux mourants.

Dans la tradition bouddhiste où la mort revêt l'importance capitale d'un passage d'une vie à la suivante, les enjeux du Livre des Morts tibétain sont considérables : l'instant crucial de la mort est celui de la révélation au mourant de la réalité la plus profonde de son être vivant et la manière dont la mort sera vécue dépend de la conduite et des actes de sa vie qui s'éteint. La mort, tout comme le sommeil, les rêves ou encore les états méditatifs, s'inscrit dans le fl ux des différents états que traverse la conscience.

Six bardo (état intermédiaire ou processus de transition) sont décrits dans le cycle qui nous occupe. Le bardo de la Vie entre la naissance et le début du processus de la mort qui inclut lui-même deux autres bardo (celui des Rêves et celui des États méditatifs). Le bardo du Moment de la mort, moment-clé des dissolutions physiques et psychiques qui s'achève avec la révélation de la claire lumière fondamentale. Le bardo de la Réalité où la claire lumière se déploie en d'extraordinaires sons et rayons lumineux qui prennent la forme des cent dix déités (paisibles et courroucées) ; et enfin le bardo du Devenir. Le Livre des Morts tibétain est cette synthèse exceptionnelle destinée à guider celles et ceux qui pensent, au-delà du seul cycle d'une vie humaine, qu'il est possible d'atteindre une dimension plus profonde et enrichissante de l'Être.

Le Livre des Morts tibétain est l'un des livres les plus importants du monde qui nous propose la vision bouddhiste tibétaine de notre voyage au coeur de la mort vers le développement intérieur et insoupçonné de chacun.

Vasubandhu (IVe s.), "le second bouddha", est l’une des figures les plus importantes de la philosophie bouddhiste indienne. Commentateur des Abhidharma, sa pensée évolue constamment jusqu’à épouser les thèses mahayanistes de son frère Asanga sur "l’esprit seulement" dont il deviendra le plus brillant défenseur. Les cinq traités présentés ici témoignent de l’évolution spirituelle de Vasubandhu.

Si Le Traité des cinq agrégats et La Discussion sur les preuves du karma sont des compositions de transition, La Vingtaine, La Trentaine et L’enseignement qui certifie les trois natures sont des œuvres de maturité qui élucident les points difficiles de la philosophie Yogâcâra. La Trentaine est ici accompagnée du grand commentaire de Sthiramati, un disciple réputé pour la clarté de ses explications. Après la publication des Soûtras du Dévoilement du sens profond et de L’Entrée à Lanka, ces traités livrent les clés indispensables à l’étude de ce courant de pensée que l’on désigne parfois comme un "idéalisme bouddhique".

Ce dictionnaire concerne toutes les formes de bouddhisme existant dans le monde asiatique et ailleurs. Il répond à l'intérêt religieux et intellectuel porté au bouddhisme, et il a été conçu comme un outil de consultation, d'information, de travail et de recherche à destination non seulement des étudiants en bouddhisme, en philosophie, en anthropologie et en sciences des religions, mais également d'un large public intéressé par les divers aspects du bouddhisme.

Il se propose de faire le point de l'ensemble des connaissances disponibles à la fois dans les traditions bouddhiques elles-mêmes et dans les travaux occidentaux sur le bouddhisme.

Ce dictionnaire est fait d'articles de fond. Outre les notions reçues en français («vacuité», «agrégat», «impermanence»...), ont été retenus les termes courants dans les principales langues de référence du bouddhisme : sanskrit (pâli), tibétain, chinois, japonais. Pour chaque entrée est donné l'équivalent dans les autres langues de référence.

Le Soûtra du dévoilement du sens profond ou Sandhinirmocanasûtra compte parmi les plus importants des soûtras du Grand Véhicule. On le considère en effet comme le texte fondateur de l'un des deux principaux courants philosophiques du Mahâyâna indien, le courant idéaliste du « Rien qu'esprit » qui se développera à partir du IVe siècle sous l'influence des écrits d'Asanga et de Vasubandhu. À la différence des Prajñâpâramitâsûtra radicalement vacuistes comme le Soûtra du Diamant déjà publié dans cette collection, le Soûtra du dévoilement du sens profond met l'accent sur le rôle de la conscience dans la génèse de l'illusion et sur une interprétation plus modérée de la vacuité.

Mais il se présente surtout comme un manuel de méditation qui inspirera nombre de pratiquants indiens, chinois et tibétains. Les méditations de la quiétude (shamatha) et de la vision éminente (vipashyanâ) sont ici décrites avec précision, dans leur relation avec le franchissement des Dix Terres que doit parcourir le bodhisattva pour atteindre l'Éveil final d'un bouddha. Quel est donc ce sens profond que le Soûtra prétend dévoiler ? L'intention véritable du Bouddha, c'est-à-dire un enseignement dont le sens définitif permet d'éliminer toute tentation ou tentative d'interprétation nihiliste du bouddhisme.

Faisant écho au Soûtra des Dix Terres, le Soûtra du Dévoilement du Sens profond s'inscrit dans la logique d'une collection qui a vocation de faire découvrir aux amateurs de sagesse les fleurons de la pensée et de la mystique bouddhiste. La traduction présentée dans ce volume a été réalisée à partir de la version tibétaine du VIIIe siècle.

Associant un texte vivant, précis et narratif à environ 300 photographies réalisées dans l'ensemble des pays asiatiques concernés, La Terre du Bouddha retrace l'histoire et le développement du bouddhisme et de ses idées, ses rapports avec les coutumes et les anciennes croyances locales. Enrichi de nombreux encadrés à la fois historiques et explicatifs quant aux rituels, à l'architecture, aux comportements religieux et sociaux, etc., le texte de Philippe Cornu permet aussi de découvrir le bouddhisme de l'intérieur, dans l'originalité de ses réponses aux grandes questions spirituelles de l'humanité. Par-delà la description des monuments, des expressions de l'art bouddhique et de la vie des moines, il s'agit de se plonger dans la vie quotidienne des pays bouddhistes et de se pencher sur l'environnement culturel qui a contribué à l'étonnante diversification des formes du bouddhisme.

Le livre se présente comme un voyage itinérant à travers les différentes aires culturelles du bouddhisme : l'Inde d'abord, berceau du bouddhisme, l'Asie du Sud-Est ensuite, puis la Route de la soie qui s'ouvre sur les mondes chinois, vietnamien, coréen et japonais ; et enfin l'aire culturelle himalayenne et tibétaine ainsi que la Mongolie. L'ouvrage s'ouvre et se referme sur une réflexion sur la situation actuelle et à venir du bouddhisme dans le monde d'aujourd'hui et plus particulièrement sur ses rapports avec l'Occident.

Si le Soûtra du Diamant et le Soûtra du Coeur sont célèbres dans l'ensemble du monde himalayen et sino-japonais, faisant l'objet de récitations et de méditations quotidiennes sur le sens de la vacuité universelle dans le bouddhisme tibétain et zen, il n'en est pas de même du Soûtra de la Pousse de Riz, injustement méconnu, et traduit ici pour la première fois en français. Il s'agit pourtant d'un texte clé des débuts du Mahâyâna, qui traite de tous les aspects de la production interdépendante en soulignant l'irréalité fondamentale des éléments qui la constituent.

Loin d'être un culte du néant, cette insistance sur la vacuité, propre au Grand Véhicule, fait voler en éclats le cadre étroit de l'être et de la substance, si chers à nos philosophes occidentaux, et débouche sur la mise en oeuvre d'une compassion sans limites.

Méconnue en Occident, l'astrologie tibétaine présente l'originalité d'unir harmonieusement deux courants astrologiques majeurs, l'un venu de Chine et l'autre de l'Inde bouddhiste, tout en intégrant d'anciennes connaissances d'origine chamanique. Tradition astrologique vivante, elle est le précieux auxiliaire de la médecine tibétaine.

Padmasambhava, le Né-du-Lotus, n’est pas seulement celui qui a introduit la plupart des enseignements tantriques au Tibet au VIIIe siècle. Il est, à lui seul, le symbole vivant de la foi dans tout un peuple et l’archétype des maîtres spirituels tibétains du passé, du présent et de l’avenir.

Après avoir livré la symbolique clé de Padmasambhava, cet ouvrage révèle sa vie merveilleuse selon plusieurs sources, dont une anthologie de morceaux choisis du « Dict de Padma » (Padma Thang Yig) dans une nouvelle traduction du tibétain. La biographie du Né-du-Lotus fait littéralement exploser tout cadre spatio-temporel, elle abonde en récits épiques et en enseignements profonds, pour entraîner chacun vers la dimension de l’Éveil, au-delà de tout concept.

Dans la troisième partie, l’histoire de l’École Nyingmapa, celle des Anciens, héritière des trésors (gter ma) légués par Padmasambhava, illustre la façon dont ces maîtres éveillés ont, jusqu’à nos jours, perpétué cet enseignement spirituel.

Considéré comme la cime des enseignements dans le bouddhisme tibétain, le Dzogchen, ou voie de la Grande Perfection, traite de la véritable nature de notre esprit et des pratiques pour la réaliser. Le Miroir du cœur de Vajrasattva est l’un des tantras fondateurs de cette voie, c’est-à-dire un texte source, une révélation de l’esprit de sagesse des Bouddhas, à l’origine de tous les enseignements.

Si sa force vive réside dans sa transmission vivante, de maître à disciple, sa traduction et les commentaires proposés par Philippe Cornu montrent un aspect méconnu de la littérature mystique tibétaine. Élan poétique, style épique et densité sont caractéristiques de ces textes sacrés dont le but est d’œuvrer à la libération des êtres.

Le Tibet et sa culture offrent à l'Occident la double face d'un mythe : fasciné, le public n'en est pas mieux informé, et l'intérêt face à la mystique orientale reste encombré de préjugés. Cet ouvrage se propose d'exposer de façon claire et précise un aspect mal connu de la pensée tibétaine : l'enseignement du Dzogchen, c'est-à-dire de " La Grande Perfection ", qui propose une vue philosophique originale et une analyse psychologique des pratiques spirituelles dites "non graduelles".

Par un entraînement spirituel approprié, le pratiquant accède finalement ainsi à la " liberté naturelle de l'esprit " où " autolibération " où se dénouent définitivement tous les blocages et toutes les illusions psychiques. Une fois les conflits émotionnels dépassés, l'esprit peut retrouver sa pureté et sa perfection naturelles jusqu'alors voilées par d'apparentes contradictions. Pour exposer ce système, Philippe Cornu a choisi de traduire la trilogie de La Liberté naturelle de Longchenpa, célèbre maître tibétain du XIVe siècle réputé pour la clarté de ses écrits. Le texte français restitue brillamment l'élan poétique qui guida initialement Longchenpa, permettant, selon les règles de la tradition, une lecture fondée à la fois sur l'intelligence et sur l'intuition.

 

Ouvrages originaux, manuels et traductions de Philippe Cornu

Ces publications ne sont pas encore ou ne sont pas destinées à tomber dans le domaine public.

Pour se les procurer, s’adresser directement à Philippe Cornu

1. Domaine des sciences des religions


L'hindouisme est un vaste sujet, tant dans son développement historique qui a connu plusieurs phases, que dans le foisonnement de ses doctrines et de ses expressions. Religion, philosophie, mode de vie et système social hiérarchisé s'y côtoient et s'entremêlent pour constituer l'une des cinq grandes religions du monde, sans doute la plus multiforme.

Après une longue période initiale dite védique où le sacrifice exécuté par les brahmanes occupe une place centrale, le brahmanisme va peu à peu évoluer en s'adaptant aux influences des autres courants religieux de l'Inde, le jaïnisme et le bouddhisme, pour intégrer leur idéal de libération spirituelle tout en réaffirmant son sytème social des quatre varna et en développant ses propres systèmes philosophiques. Les grandes épopées puis les purâna vont teinter un brahmanisme en pleine mutation d'une saveur dévotionnelle qui ne cessera de croître par la suite. Les anciens dieux védiques s'effacent peu à peu pour laisser la première place à Vishnu, Shiva ou Ganesh et c'est ainsi que l'on voit émerger ce que l'on appelle l'hindouisme proprement-dit, avec ses nombreux courants et sectes populaires, tel qu'il est encore vécu de nos jours. Cet ouvrage a été conçu pour les étudiants en sciences des religions de l'UCL, en particulier pour ceux qui prêtent intérêt aux religions de l'Inde et plus généralement de l'Asie. 350 pages, 2014, © Philippe Cornu, tous droits réservés.

2. Traductions du tibétain, domaine du Dzogchen

Ces ouvrages sont des traductions originales du tibétain classique effectuées par Philippe Cornu dans le cadre de ses recherches sur la tradition Dzogchen (rDzogs chen) tant dans l’école g.Yung drung bon que dans l’école rNying ma pa. Ils sont essentiellement destinés aux chercheurs en tibétologie et à un public restreint de pratiquants qui étudient cette voie spirituelle. C’est la raison pour laquelle ils ne sont pas dans le domaine public.

Le Kunzang Nyingtik (Kun bzang snying tig) est un manuel d’instructions sur la pratique du Dzogchen composé par le grand maître bön Shardza Tashi Gyaltsen (Shar rdza bKra shis rGyal mtshan, 1859-1934) qui manifesta le corps d’arc-en-ciel à la fin de sa vie. On y trouve les préliminaires propres au Dzogchen, les pratiques principales de trekchö et de thögal et enfin des conseils concernant les états intermédiaires qui suivent la mort (bardo) et l’accès aux Champs Purs. Malgré sa concision, ce texte est clair, précis et complet et sera très précieux pour les pratiquants engagés dans la voie de la Grande Perfection. Il était déjà paru en 1993 un commentaire oral du Kunzang Nyingtik par Yongdzin Tendzin Namdak Rinpoché (Heart Drops of Dharmakaya), puis sa traduction française (Les Sphères du Cœur, Paris, Les deux Océans) en 1998. C’est le texte-racine, traduit pour la première fois du tibétain en français, qui est présenté ici. 111 pages, juillet 2011, © Philippe Cornu

Le Gyalwa Chaktri (rGyal ba phyag khrid) ou "Guide pratique du Vainqueur" est un manuel d'instructions sur la pratique du Dzgchen selon le cycle du Zhang Zhung Nyen Gyü (Zhang zhung snyan rgyud), le plus ancien des cycles dzogchen majeurs de l'école Bön. On y trouvera, outre une explication claire et concise des pratiques préliminaires dites (Bon spyod dgu rim, "Les Neuf pratiques préliminaires du bön"), un ensemble de six chapitres consacrés à la pratique principale, suivi d'un texte concernant les retraires dans l'obscurité ('Od gsal bdun skor, "Les sept cycles de la claire lumière"). Composé par Dru Gyalwai Yungdrung (‘Bru rGyal ba g.Yung drung, 1242-1290), le Gyalwa Chaktri est particulièrement représentatif de la pratique de l’ancien Dzogchen bön. On trouvera ici le texte-racine intégral traduit du tibétain par Philippe Cornu. 195 pages, 2013, © Philippe Cornu, tous droits réservés.

La Transmission orale du Zhang Zhung (Zhang zhung snyan rgyud) est l'un des trois principaux cycles dzogchen de la tradition bön. Transmis d'abord par une lignée de neuf bouddhas puis de vingt quatre maîtres du royaume antique du Zhang Zhung, il fut enseigné par Tapihritsa à Gyerpung Nangzher Löpo au VIIIe siècle, qui reçut l'autorisation de le coucher par écrit. Le cycle sera ensuite traduit et mis par écrit en tibétain vers le XIe siècle par les soins de Pönchen Tsenpo (dPon chen btsan po). Cette lignée orale s'est ensuite poursuivie au Tibet jusqu'à nos jours, où elle nous est parvenue sans être adultérée par aucun ajout. Le Zhang Zhung Nyengyü comprend deux grandes parties: les quatre cycles de la lignée orale (bKa’ rgyud skor bzhi) et les trois cycles de la lignée par l'expérience (Nyams rgyud). Cette série a pour ambition de présenter la traduction intégrale des quatre cycles de la lignée orale en quatre volumes successifs. Ce premier volume est consacré au cycle externe, "Les généralités de la Vue" (Phyi lta ba spyi gcod), le premier des quatre cycles, consacré principalement à l'établissement de la Vue et de la méditation de l'état naturel. 174 pages, 2013, © Philippe Cornu

La Transmission Orale du Zhang Zhung (Zhang zhung sNyan rgyud) est l'un des principaux cycles dzogchen de la tradition bön et son détenteur actuel est Yongzin Tenzin Namdak. Les quatre cycles de la lignée orale (bKa’ brgyud skor bzhi) constituent sa base scripturaire. Après un premier volume de la série consacré au cycle externe qui insiste sur la Vue générale du Dzogchen, ce deuxième volume est consacré au cycle interne (nang gi skor), axé autour de l'important texte des Six Lampes (sGron ma drug) qui traite de la pratique méditative de la claire lumière et des états intermédiaires (bar do). 291 pages, 2015, © Philippe Cornu

Ce petit recueil de textes tibétains sur le Trekchö (khregs chod), « Le dénouement des tensions » selon l’école Nyingmapa du bouddhisme tibétain, est né de l’idée de rassembler sous forme d’un petit livre des textes qui sont considérés comme de précieuses instructions dispensées par de grands maîtres contemporains et du passé récent. Ce sont principalement des conseils de pratique destinés à orienter les yogis dans une méditation adéquate. Ce recueil n’est pas destiné à la diffusion publique mais aux personnes qui manifestent un réel intérêt pour la compréhension et la pratique de cette tradition du Dzogchen. 168 pages, juin 2013, © Philippe Cornu

 

Bibliographie complète de Philippe Cornu

 

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  • DIM (Dialogue interreligieux monastique)
  • ENBCS (European network of buddhist christian studies
  • IEB (Institut d'études boudhiques)
  • Voies d'Orient