«Non, nous n’avons pas été vitalistes»

Louvain-La-Neuve

Peu de temps après les moments les plus graves de la crise sanitaire, des voix se sont fait entendre pour vilipender les décideurs publics, les politiques et certains scientifiques.

Le choix du confinement massif imposé à la population dans de nombreux pays aurait été inapproprié, abusif, coûteux, extrême. Les critiques fusent : "primauté accordée à la santé sur la liberté du projet", "servitude consentie", "vitalisme traditionnel",  "hygiénisme fascisant". Le philosophe Michel Dupuis ne partage pas cette vision.  Dans une carte blanche parue dans le journal Le Soir , il nous rappelle également qu’une existence sans air, nourriture et soins est un mythe.

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Publié le 16 juin 2020