Nos diplômés s’exportent bien !

 

Nombreux sont les jeunes chercheurs qui rêvent de réaliser une thèse de doctorat à la University of Oxford, une des Universités les mieux classées dans le monde. Mais la sélection est rude. Elle implique entre autres, une évaluation de l’anglais, une défense orale du projet de recherche envisagé, et des interviews avec les chefs de départements. Au terme de ce parcours, moins de 5% des candidats obtiendront une bourse de doctorat, et pourront rejoindre un des laboratoires de la prestigieuse Université.

Violaine André, diplômée en sciences biomédicales à l’UCL en 2017, a réussi cet exploit. « J’ai le privilège d’être acceptée dans le laboratoire du Professeur Dushek (Dunn School of Pathology, University of Oxford). Il était particulièrement intéressé par le projet sur lequel j’ai travaillé durant mon mémoire à l’UCL, dans le laboratoire du Professeur Pierre van der Bruggen ».

Violaine avait déjà eu l’occasion de découvrir l’environnement stimulant de l’Université d’Oxford lors d’un stage de quatre mois réalisé durant son master. Elle avait alors bénéficié d’une bourse Erasmus. « L’université d’Oxford donne accès à des techniques de pointe, attire des orateurs reconnus comme experts dans leur domaine, et encourage les collaborations avec d’excellents laboratoires au niveau mondial », explique Violaine qui se prépare un bel avenir dans la carrière de chercheur en sciences biomédicales.

Publié le 26 février 2018