Emilie Collette, assistante à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l’UCLouvain, a reçu le prix Philippe Maystadt, dans la catégorie Doctorat, pour ses recherches sur la dyslexie dans l’enseignement supérieur.
Le 27 janvier dernier, l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES) remettait le prix Philippe Maystadt. Ce prix, qui récompense des travaux de fin d’études, a pour objectif de « valoriser, stimuler et démontrer toute l'importance de la recherche dans le domaine de l'enseignement de manière générale ».
Lors de la cérémonie, qui s’est déroulée en présence de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Glatigny, une jeune docteure de l’UCLouvain a été primée.
Emilie Collette, assistante à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation et chercheuse à l'Institut de recherche en sciences psychologiques (IPSY), a impressionné le jury avec sa thèse « Analyse des différents profils d’étudiants présentant une dyslexie et de la qualité de leurs représentations lexicales ».
Durant ses recherches, Emilie Collette s’est attachée à « mieux comprendre les facteurs qui jouent en faveur des étudiantes et étudiants de l’enseignement supérieur présentant une dyslexie développementale et d’identifier les obstacles rencontrés par ces personnes ».