Février 2020 à septembre 2021

DRT Louvain-La-Neuve

Justice climatique

En collaboration avec la Commission environnement de la Ligue des droits humains, huit étudiant·e·s de la Clinique mènent, dans le cadre de leur mémoire, des recherches relatives à la responsabilité des acteurs privés en matière de changement climatique.

Ces recherches posent donc la question de la responsabilité des acteurs privés multinationaux pour violation des droits et libertés en raison du dérèglement climatique.

Ils et elles documentent également la question de l’opportunité, par l’association, d’un recours contre une multinationale. Le travail a pris plusieurs formes: recherches documentaires, formulation de propositions, échanges avec le partenaire, interviews, etc.

Ces étudiant·e·s travaillent sous la supervision d’Auriane Lamine et Céline Romainville.

Droit et genre

Cinq étudiantes effectuent leurs recherches sur l’application de loi du 22 avril 2012 visant à lutter contre l'écart salarial entre hommes et femmes aux universités.

Notre partenaire associatif pour ce projet est la commission DESC (droits économiques, sociaux et cultures) de la Ligue des droits humains.

Les étudiantes travaillent en collaboration avec, entre autres, l’Institut fédéral pour l’égalité des femmes et des hommes, sous la supervision scientifique de Pascale Vielle.

Droit et migrations

Sous la supervision de Sylvie Saroléa, dix étudiant·e·s de la Clinique travaillent actuellement sur des thématiques choisies en concertation (et pour répondre aux besoins juridiques) de nos partenaires associatifs : DEI-Belgique, Mineurs en exil, Nansen et EVAM.

Parmi les sujets traités, on recense notamment : la place réservée à la médiation interculturelle dans la procédure d’asile ; les firewall avec un focus sur les aspects de safe reporting et d’accès à la justice pour les personnes migrantes sans-papier victimes de violence ; la place réservée aux enfants dans les procédures d’asile ; la prise en compte, dans le cadre d’une demande de protection internationale, des violences subies par les personnes migrantes « en chemin », c’est-à-dire lors de leur trajectoire migratoire ; les effets de la pandémie de Covid-19 sur l’asile ; etc.