29 avril 2019
19h
Louvain-la-Neuve
Ferme du Biéreau
Le Professeur Vincent Blondel, Recteur de l'UCLouvain
La Professeure Véronique Préat, Conseillère du Recteur à la culture
Le Professeur Cédrick Fairon, Doyen de la Faculté de Philosophie, arts et lettres, Président du Prix Henry Bauchau
La Professeure Myriam Watthee-Delmotte, Directrice scientifique du Fonds Henry Bauchau
vous invitent à la
CEREMONIE DE REMISE DU PRIX HENRY BAUCHAU
qui se tiendra le lundi 29 avril à 19h à la Ferme du Biéreau (Louvain-La-Neuve)
Créé il y a dix ans, le Prix Henry Bauchau est décerné au travail le plus remarquable relatif à l’œuvre d’Henry Bauchau, qu’il soit de recherche, de création, de diffusion ou d’exploitation de l’œuvre sous toute forme envisageable.
En 2019, le Prix sera remis en présence des autorités de l'UCLouvain, ex æquo à :
Élise Vigneron (Théâtre de l’Entrouvert) pour le spectacle Anywhere
Éric Pellet et Benoit Weiler (Théâtre de l’Estrade) pour l’ensemble de leurs réalisations théâtrales
Les lauréats livreront un aperçu du caractère exceptionnel de leur travail
Réservation pour la cérémonie et le spectacle
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Anywhere, librement insipiré du roman Œdipe sur la route d'Henry Bauchau est un poème visuel qui convie le spectateur à vivre au travers des différents états de l'élément Eau, la métamorphose intérieure d'un personnage mythique. Œdipe, marionnette de glace se transforme peu à peu en eau pour disparaître à l'état de brume. Sa fille, Antigone, l'accompagne jusqu’à sa fin. |
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Le travail du professeur et dramaturge Éric Pellet et du metteur en scène Benoit Weiler porte de longue date sur l’œuvre de Bauchau : de 2003 à 2013, le cycle Henry Bauchau a donné vie, puissance et profondeur aux textes de l’écrivain belge, notamment Gengis Khan, La Reine en Amont, et Ceinte (créé au départ de plusieurs textes de Bauchau à l’occasion du Centenaire de l’écrivain). |
La remise du Prix Bauchau sera suivie du spectacle
L'île paradis qu'on ne doit pas dire
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À partir des journaux et de la correspondance de Henry Bauchau, ce spectacle nous plonge dans l’imaginaire, la folie, la psychose et l’angoisse de L’Enfant bleu (Actes Sud, 2004). Sur scène, tout s’entrelace : la vidéo, plus qu’une projection illustrative, fait partie de la scénographie, tout comme la musique et les textes forment une partition sonore, un récit scénique et théâtral. |
