Piscines de Blocry : un subside de 5,2 millions d’€ accordé

Communiqué de presse

L’UCL se réjouit du subside de 5,2 millions d’€ accordé par la Ministre des Pouvoirs Locaux, du Logement et des Infrastructures Sportives, Valérie De Bue, dans le dossier des piscines du Blocry. Cette aide substantielle permet désormais au conseil d’administration des piscines de se prononcer, soit pour la rénovation, soit en faveur de la construction d’une nouvelle piscine.

Pour rappel, les deux piscines de Louvain-la-Neuve doivent être rénovées1. Fréquentées par 360 000 personnes chaque années et vieilles de 36 ans, elles répondent toujours aux normes en vigueur, néanmoins elles consomment beaucoup d’énergie et mériteraient une nouvelle jeunesse. Les trois copropriétaires des piscines de Blocry (UCL, Communauté française et Ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve) avaient décidé, en février 2017, de rentrer deux projets auprès de la Région wallonne, soit :

  • L’un, prévoyant la rénovation des deux bassins actuels (2 X 25 m), nécessitant une fermeture durant 2 ans. Coût du projet : 10, 1 millions.
  • L’autre, tablant sur la construction d’une nouvelle piscine, olympique celle-ci (50 m), le long du boulevard de Lauzelle. Coût du projet : 12,8 millions d’€. Les avantages :
    • Ouverture ininterrompue des bassins actuels : les deux piscines actuelles pourraient continuer à accueillir les visiteurs durant la durée des travaux
    • Création d’une piscine olympique, inexistante dans la région
    • Maintien de l’emploi : cela éviterait de mettre au chômage technique les 24 membres du personnel de la piscine
    • Mobilité plus fluide : cela permettrait de résoudre les problèmes actuels de mobilité dans le quartier de Blocry, puisque la nouvelle piscine serait construite en périphérie du quartier

Grâce aux 5,2 millions d’€ accordés par la Région wallonne, le conseil d’administration de Blocry a désormais toutes les clés en main pour choisir le projet qui répond le mieux aux besoins du grand public.

1. À noter que, si la rénovation des piscines s'impose, elles peuvent malgré tout encore fonctionner plusieurs années. Les partenaires préfèrent néanmoins anticiper leur réflexion sur le futur afin d’offrir les meilleures infrastructures possibles, pour une bonne pratique sportive.

Qui (presse) ? Marc Francaux, prorecteur au développement régional de l’UCL : GSM sur demande

Publié le 23 mai 2018