Communiqué de presse - Transition UCLouvain
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EN BREF :
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INFOS : https://uclouvain.be/fr/decouvrir/universite-transition/assemblee-de-la-transition.html |
| CONTACTS PRESSE : Marthe Nyssens, prorectrice à la transition de l’UCLouvain : gsm sur demande Min Reuchamps, professeur à l'Ecole des sciences politiques de l'UCLouvain : gsm sur demande |
L’UCLouvain lance une assemblée de la transition afin d’évaluer en profondeur le plan de l’université en la matière et aller plus loin. La spécificité de cette dynamique ? L’UCLouvain innove via un processus participatif et citoyen : 60 personnes, étudiant·es, académiques, scientifiques et membres du personnel administratif ont été tirées au sort, avec une parité en termes de genre, secteurs, facultés et sites géographiques UCLouvain. L’objectif, selon Marthe Nyssens, prorectrice à la transition de l’UCLouvain, « c’est de co-construire la stratégie de l’UCLouvain pour assurer la transition vers une université durable, en étant visionnaire et servir d’exemple d’un point de vue sociétal. »
Concrètement, de septembre 2023 à février 2024, les 60 membres de la communauté universitaire tiré·es au sort se rassembleront lors de 5 ateliers thématiques : enseignement ; mobilité ; recherche ; bâtiments et biodiversité ; mobilisation et consommation, thématiques qui touchent les 7 000 membres du personnel ainsi que les 40 000 étudiant·es de l’UCLouvain.
L’assemblée est chargée d’émettre un avis sur les avancées des projets de l’UCLouvain en matière de transition, ainsi que de formuler des propositions d’actions. Les participant·es seront accompagné·es par des expert·es en matière de transition. Les conclusions des travaux de l’assemblée de la transition seront présentées aux différentes instances de gouvernance de l’Université et permettront d’alimenter les prochains plans stratégiques.
Pourquoi un processus participatif ? Selon Min Reuchamps, politologue UCLouvain et expert en innovations démocratiques, membre également du comité de pilotage de cette assemblée de la transition, « ce concept d’assemblée « citoyenne » repose sur un double dynamique : il donne la parole à des personnes qui, habituellement, ne participent pas aux réflexions sur ce sujet, n’étant pas membres d’organes représentatifs ; l’autre aspect positif est de permettre à des personnes issues de différents horizons au sein de l’université d’échanger autour de ce thème important qui est particulièrement transversal. Une telle assemblée à l’échelle de l’ensemble de l’université, c’est quelque chose d’inédit. »