Entre 1983 et 2009, le DPCR (Département de droit pénal et de criminologie) regroupait deux unités de recherche et un organe pédagogique propre (l’Ecole de criminologie) rassemblant ainsi l’ensemble des personnes qui, au sein de la faculté de droit, exerçaient des fonctions d’enseignement et de recherche dans les domaines qui nous occupent.
Nous rendons aujourd'hui accessibles pas moins de 50 documents dont la publication fut confidentielle voire inexistante.
Il s'agit de documents de travail qui constituent un fonds important témoignant de travaux des membres de ce département : préoccupations scientifiques de l'époque, recherches qui y furent menées entre 1985 et 2004.
Leur accès en ligne leur donne une seconde vie après la disparition de leur lieu d’attache.
Voici la liste des auteur·es dont les documents sont mis à disposition.
de la CUESTA ARZAMENDI Jose Luis
DONOSO CASTELLON Arturo J.
GILLES Stéphane
HOUCHON Guy
n°12/3-1986, G. Houchon, Note de méthode pénologique à propos de l’avant-projet de Code pénal
n°14/1986, G. Houchon, Analyse pratique des vocabulaires de la prévention
n°16/1987, G. Houchon, De l’analyse des fonctions à l’étude de l’usage de l’emprisonnement
n°17/2-1987, G. Houchon, Analytic induction and further : a methodological note (1983)
n°19/1-1987, G. Houchon, La victime comme facteur de progrès en criminologie
n°20/1987, G. Houchon, La pénalité et le changement social
n°22/1988, G. Houchon, Surpopulation pénitentiaire. Entrée et sortie
n°28/1990, G. Houchon, Questions de méthodologie criminologique
KAMINSKI Dan
LIEVENS Paul
TULKENS Françoise
n°5/3-1985, Fr. Tulkens, Un chapitre de l’histoire des réformateurs : A. Prins et la défense sociale
n°9/1985, Fr. Tulkens, Les limites du secret de l’instruction
n°13/1986, Fr. Tulkens, Égalité et discrimination en droit pénal belge
n°33/1990, Fr. Tulkens, La Convention des droits de l’enfant et la justice pénale
VANDERPUTTEN Guy
n°6/1985, G. Vanderputten, Supposons un savoir. Est-ce la règle? Une institution d'enseignement spécial et quelques enjeux de cette question