Eloïse Bachelet, 29 ans, infirmière - Master 120 en santé publique
"La palette de possibilités offertes par ce master me fait réfléchir sur mon avenir."
Depuis toujours, le cœur d’Eloïse balance entre sa France natale et sa terre d’accueil, la Belgique. Récemment, cette jeune femme de 29 ans a fait le choix d’effectuer un master en Santé Publique qu’elle a étalé sur une période de 3 ans à l’UCL via une passerelle. Lors de son stage pendant son bachelier en Soins Infirmiers, Eloïse se découvre une vocation pour les autres. Guidée par son instinct, elle est irrévocablement attirée par l’aide, le soutien et l’écoute qu’elle peut apporter aux autres.
Mais la soif d’apprentissage d’Eloïse ne tarit pas, bien du contraire elle ressent une certaine lassitude bien qu’elle soit passionnée par son métier. En réalité, elle éprouve le besoin d’approfondir ses connaissances et d’élargir son horizon. C’est donc tout naturellement que notre globe trotteuse en herbe se dirige vers un master en Santé Publique et plus motivée que jamais, entre en septembre 2017 avec impatience dans son nouveau cursus, partagée entre le stress de retourner à l’école et l’impatience d’en savoir plus sur son milieu professionnel…
Plus le temps passe, plus les projets d’Eloïse évoluent. “La palette de possibilités offertes par ce master me fait réfléchir sur mon avenir. Professeur ? Chef de service ? travailler dans la recherche ? faire avancer le milieu de la santé ? continuer les études ? Je ne sais pas quoi répondre. J’avoue que l’idée de partir voir ce qui se passe à l’étranger m’attire énormément. C’est une occasion d’enrichir un peu plus ma formation et de revenir avec des idées nouvelles.”
Euphorique par la reprise de ses études, elle tient à rappeler l'exigence et la discipline qu’une telle démarche peut réclamer. “J’ai envie de dire aux personnes qui souhaitent changer dans leur vie professionnelle de bien penser leur projet et de ne pas hésiter. Le changement est parfois effrayant mais tellement enrichissant.”