Adopter une communication inclusive - c’est-à-dire qui s’adresse aussi bien aux femmes qu’aux hommes - c’est tout simplement faire en sorte que chaque personne se sente également considérée. Un point de vue féministe ? En réalité, si la communication inclusive permet de rendre visible à la fois les femmes et les hommes, elle participe aussi au respect de toutes les diversités.
En décembre 2017, le Conseil académique a réitéré son soutien à l’écriture inclusive et en a recommandé l’utilisation pour toutes les communications et textes officiels (PV de la séance du Conseil académique n’° 567 – 11.12.2017).
Découvrez le Guide du bon usage du genre dans la communication.
Autres ressources
- « Quand dire, c’est inclure » : ce guide a été élaboré par le Conseil des Langues et des Politiques linguistiques. Il accompagne la récente législation en matière de féminisation et de communication non discriminatoire.
> En complément, un dépliant pratique synthétise 11 techniques qui permettent de mettre en application les recommandations reprises dans le guide « Quand dire, c’est inclure ».
- « Intégrer la dimension de genre dans la communication fédérale – Guide pour les communicateurs fédéraux »
- « Inclure sans exclure : les bonnes pratiques de rédaction inclusive – Guide la fédération Wallonie-Bruxelles – Edition 2020 »