Une gestion des déchets plus responsable

Science Photo Library, NTB

Un test à grande échelle

Un test de gestion différenciée des déchets est lancée dans une dizaine de bâtiments de l'université. Il sera la marque concrète d’une des actions du plan de Transition 2021-2026 qui vise à mettre en place un système de poubelles sélectives centralisées dans les espaces de vie du personnel.

Cette action se matérialisera par le retrait des poubelles individuelles dans les bureaux et par le placement de différents centres de tri pour le papier/carton, le PMC, le tout-venant et même les déchets organiques sur Woluwé.

Ces centres de tri seront placés principalement dans les lieux de convivialité et/ou suivant l’architecture des bâtiments et le souhait de leurs occupants, dans les couloirs. Pour certains bâtiments à LLN, le système de récolte des papiers et cartons à recycler en vigueur actuellement sera maintenu.

Un code couleur a été institué pour l’ensemble des sites de l’UCLouvain : Gris (Non recyclable), Bleu (PMC), Jaune (Papier) et Orange pour les organiques sur Woluwé.

Suggestion aux membres du personnel : garder à portée de main un récipient pour les petits déchets quotidiens avant de les jeter dans les poubelles sélectives. Cache-pot, boite de conserve, contenant de consommable de labo et pourquoi pas un pot bricolé avec les (petits)-enfants… tout est bon !

Un double objectif

Jeter moins : Retirer les poubelles individuelles a pour but de faire prendre conscience de son acte de consommation et de ses conséquences en termes de « production » de déchets. Tout ce que je consomme est-il indispensable ? N’existe-t-il pas d’autres alternatives moins polluantes ? Tous les déchets que nous jetons/trions ne sont pas recyclables !

Jeter mieux : Il est cependant tout à fait normal de « produire » un certain nombre de déchets. Mieux les trier permettra un meilleur recyclage pour tout ce qui peut l’être.

Cette action permettra également une réduction sensible du nombre de sacs-poubelle en plastique utilisés quotidiennement dans nos bâtiments.

Au total, ce sont une dizaine de bâtiments qui sont concernés par ce test sur différents sites de l’Université, mais l’objectif est bien de généraliser rapidement ce système.